Veja este vídeo de ELUCID sobre a exploração do capitalismo neoliberal, hoje em dia na Europa: porque continua a descer o NÍVEL DE VIDA DAS CAMADAS MAIS POBRES enquanto os lucros das (grandes) empresas sobem em flecha e dos CEOs correspondentes, também.
This weekend, I held my breath, hoping the ceasefire in Gaza would remain intact. Thankfully, it’s still in place, but after Israel’s 269+ violations of the deal, this is not the time to look away. You have advocated endlessly for Palestinians, and more recently you’ve helped uplift the story of Dr. Hussam Abu Safiya and demand his release. Although he still remains in detention – the international pressure is working. Because of pressure campaigns, his lawyer was able to meet with him and confirm what we already assumed: Dr. Abu Safiya is being tortured by Israel. We’ve also been hearing that he might be part of an upcoming prisoner exchange as part of the ceasefire deal, so we need to elevate our demands for Palestine’s doctors today!
Keep applying public pressure by sharing posts demanding Dr. Abu Safiya’s release on X and Facebook!
While Israel has slowed its bombing of Gaza, it is doubling down on its violent assault on the West Bank. Israeli forces — often alongside Israeli settlers — have escalated their raids, killing and detaining Palestinians and destroying homes across Jenin, Nablus, Tulkarem, and al-Khalil*. Israel’s aggression has displaced about 45,000 Palestinians — the largest number in the West Bank since the Naksa** in 1967. We are witnessing ethnic cleansing in real-time. Meanwhile, Trump’s ethnic cleansing plan for the U.S. to seize ownership of Gaza only enables Netanyahu’s genocidal actions.
With speculations about the potential of Dr. Abu Safiya’s release, we’re seeing firsthand what we can achieve when we refuse to abandon our siblings in Palestine. Every letter keeps the pressure on. Let’s show them we won’t stop until every doctor, every Palestinian, is free from Israel’s occupation.
Be public about your demands by sharing them on X and Facebook!
While Israel continues to destroy Palestinian healthcare, you have already helped build its future. Thanks to your generosity, we raised enough funds to sponsor 19 Palestinian medical students who are studying in Cuba as part of our Valentine’s Day fundraiser! The thousands of dollars you donated will support these students for an entire year. These future doctors will one day return to serve their people and rebuild Gaza’s destroyed healthcare system — all because you chose to stand with them. Supporting Palestinian life in a world that keeps trying to crush it is a radical act of love!
One of the most powerful things you can do is bring this care and solidarity everywhere you go. It’s why we’ve been asking you to talk to your doctors about the crimes committed against Palestinian physicians. Our mission is to educate the immediate people around us so they can see as clearly as we do that we have more in common with Palestinians in Gaza than we do with the war criminals calling the shots. We can’t change Israel’s mind, but we can change each other’s. If you know anyone who has a loving heart, but hasn’t been brought into the movement yet, share this email so they can learn about Dr. Hussam Abu-Safiya and the struggle of Palestinian doctors.
*al-Khalil is the original Palestinian name of the city that Israel calls Hebron.
**The Naksa, Arabic for setback, refers to Israel’s total occupation of the remainder of Palestine, and the displacement of 300,000 Palestinians in 1967.
A " Europa " (sic) está de fora : ainda bem, pois essa europa dos neoliberais e eurocratas não passa de um saco de gatos, de vazios incomptetentes, cheios de orgulho e desprezo pelos não "europeus"!!!!
La paix en Ukraine pourrait ne rien résoudre du tout. Cette guerre n’a pas été causée par une volonté expansionniste de la Russie, ainsi que l’assure la propagande atlantiste, mais par de réels problèmes. À se contenter de reconnaître une modification des frontières, on ne traitera pas le fond. Cette guerre est la résultante de l’extension de l’OTAN au mépris de la parole donnée ; une extension qui menace directement la sécurité de la Russie dont les frontières sont trop grandes pour pouvoir être défendues. Pour s’étendre en Ukraine, l’OTAN a soutenu des groupes néo-nazis qu’elle a placé au pouvoir et qui ont installé leurs lois dans ce pays. À cela s’est ajouté la résurgence d’un prétendu conflit de civilisation entre valeurs européennes et asiatiques. Il n’y aura pas de paix véritable tant que les Occidentaux ne respecteront pas leur propre parole.
Lors du sommet de Malte (2 et 3 décembre 1989) entre les présidents états-uniens et russe, George Bush (le père) et Mikhaïl Gorbatchev, les États-Unis firent valoir qu’ils n’étaient pas intervenus pour faire tomber le Mur de Berlin et qu’ils n’avaient aucune intention d’intervenir alors contre l’URSS [1]
Le ministre ouest-allemand des Affaires étrangères, Hans-Dietrich Genscher, déclara « que les changements en Europe de l’Est et le processus d’unification de l’Allemagne ne devaient pas conduire à une « atteinte contre les intérêts de sécurité soviétiques ». Par conséquent, l’OTAN devrait exclure une « expansion de son territoire vers l’est, c’est-à-dire un rapprochement des frontières soviétiques »
Les trois puissances occupantes de l’Allemagne, les États-Unis, la France et le Royaume-Uni, multiplièrent donc les engagements à ne pas étendre l’OTAN vers l’Est. Le Traité de Moscou (12 septembre 1990) suppose que l’Allemagne réunifiée ne revendiquera pas de territoire sur la Pologne (ligne Oder-Neisse), et qu’aucune base de l’OTAN ne sera présente en Allemagne de l’Est [2].
Lors d’une conférence de presse commune, en 1995, à la Maison-Blanche, le président Boris Eltsine qualifie l’entretien qu’ils viennent d’avoir de « désastreux », provoquant l’hilarité du président Bill Clinton. Il vaut effectivement mieux en rire qu’en pleurer.
Cependant, les Russes furent informés que le secrétaire d’État adjoint Richard Holbrooke faisait le tour des capitales pour préparer l’adhésion à l’OTAN d’anciens États du Pacte de Varsovie. Le président Boris Eltsine harangua donc son homologue, Bill Clinton, lors du sommet de Budapest (5 décembre 1994) de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE). Il déclara : « Notre attitude vis-à-vis des plans d’élargissement de l’OTAN, et notamment de la possibilité que les infrastructures progressent vers l’Est, demeure et demeurera invariablement négative. Les arguments du type : l’élargissement n’est dirigé contre aucun État et constitue un pas vers la création d’une Europe unifiée, ne résistent pas à la critique. Il s’agit d’une décision dont les conséquences détermineront la configuration européenne pour les années à venir. Elle peut conduire à un glissement vers la détérioration de la confiance entre la Russie et les pays occidentaux. […] L’OTAN a été créée au temps de la guerre froide. Aujourd’hui, non sans difficultés, elle cherche sa place dans l’Europe nouvelle. Il est important que cette démarche ne crée pas deux zones de démarcation, mais qu’au contraire, elle consolide l’unité européenne. Cet objectif, pour nous, est contradictoire avec les plans d’expansion de l’OTAN. Pourquoi semer les graines de la méfiance ? Après tout, nous ne sommes plus des ennemis ; nous sommes tous des partenaires maintenant. L’année 1995 marque le cinquantième anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Un demi-siècle plus tard, nous sommes de plus en plus conscients de la véritable signification de la Grande Victoire et de la nécessité d’une réconciliation historique en Europe. Il ne doit plus y avoir d’adversaires, de gagnants et de perdants. Pour la première fois de son histoire, notre continent a une réelle chance de trouver l’unité. Le manquer, c’est oublier les leçons du passé et remettre en question l’avenir lui-même. » Bill Clinton lui répondit : « L’OTAN n’exclura automatiquement aucune nation de l’adhésion. […] Dans le même temps, aucun pays extérieur ne sera autorisé à mettre son veto à l’expansion. » [3]
Lors de ce sommet, trois mémorandums furent signés, dont un avec l’Ukraine indépendante. En échange de sa dénucléarisation, la Russie, le Royaume-Uni et les États-Unis s’y engageaient à s’abstenir de recourir à la menace ou à l’emploi de la force contre l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique de l’Ukraine.
Pourtant, lors des guerres de Yougoslavie, l’Allemagne intervint, en tant que membre de l’OTAN. Elle forma les combattants kosovars sur la base de l’Alliance d’Incirlik (Türkiye), puis déploya ses hommes sur place.
Pourtant, au sommet de l’OTAN de Madrid (8 et 9 juillet 1997), les chefs d’État et de gouvernement de l’Alliance annoncent se préparer à l’adhésion de la Tchéquie, de la Hongrie et de la Pologne. En outre, ils envisagent aussi celle de la Slovénie et de la Roumanie.
Consciente qu’elle ne peut empêcher des États souverains de souscrire des alliances, mais inquiète des conséquences pour sa propre sécurité de ce qui se prépare, la Russie intervient au sein de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE), lors du sommet d’Istanbul (18 et 19 novembre 1999). Elle fait adopter une déclaration posant le principe de la libre adhésion de tout État souverain à l’alliance de son choix et celui de ne pas prendre de mesures pour sa sécurité au détriment de celle de ses voisins.
Pourtant, en 2014, les États-Unis organisèrent une révolution colorée en Ukraine, renversant le président démocratiquement élu (qui souhaitait maintenir son pays à mi-chemin des États-Unis et de la Russie) et installant un régime néo-nazi publiquement agressif contre la Russie.
En 2004, la Bulgarie, l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la Roumanie, la Slovaquie et la Slovénie adhérent à l’OTAN. En 2009, c’est l’Albanie et la Croatie. En 2017, le Monténégro. En 2020 la Macédoine du Nord. En 2023, la Finlande, et en 2024, la Suède. Toutes les promesses ont été bafouées.
Pour bien comprendre comment on en est arrivé là, il faut aussi savoir ce que pensaient les États-Unis.
En 1997, l’ancien conseiller de sécurité du président Jimmy Carter, le Polono-États-unien Zbigniew Brzeziński, publie Le grand échiquier. Il y disserte de « géopolitique » au sens originel, c’est-à-dire non pas de l’influence des données géographiques sur la politique internationale, mais d’un plan de domination du monde.
Selon lui, les États-Unis peuvent rester la première puissance mondiale en s’alliant aux Européens et en isolant la Russie. Alors à la retraite, ce démocrate offre aux straussiens une stratégie pour tenir la Russie en échec, sans pour autant leur donner raison. En effet, il soutient la coopération avec l’Union européenne, tandis que les straussiens souhaitent au contraire freiner son développement (doctrine Wolfowitz). Quoi qu’il en soit, Brzeziński deviendra conseiller du président Barack Obama.
Monument à Lviv à la gloire du criminel contre l’Humanité Stepan Bandera
2- Nazification de l’Ukraine
Au début de l’opération spéciale de l’armée russe en Ukraine, le président Vladimir Poutine a déclaré que son premier objectif était de dénazifier le pays. Les Occidentaux ont alors feint d’ignorer le problème. Ils ont accusé la Russie de monter en épingle quelques faits marginaux bien qu’ils aient été observés à grande échelle durant une décennie.
C’est que les deux géopoliticiens états-uniens rivaux, Paul Wolfowitz et Zbigniew Brzeziński, avaient fait alliance avec les « nationalistes intégraux » (c’est-à-dire avec les disciples du philosophe Dmytro Dontsov et du chef de milice Stepan Bandera) [4], lors d’une conférence organisée par ces derniers à Washington, en 2000. C’est sur cette alliance que le département de la Défense avait misé, en 2001, lorsqu’il externalisa ses recherches en guerre biologique en Ukraine, sous l’autorité d’Antony Fauci, alors conseiller Santé du secrétaire Donald Rumsfeld. C’est toujours sur cette alliance que le département d’État avait misé, en 2014, avec la révolution colorée de l’Euromaïdan.
Les deux présidents juifs ukrainiens, Petro Porochenko et Volodymyr Zelensky, ont laissé se développer partout dans leur pays des mémoriaux rendant hommage aux collaborateurs des nazis, particulièrement en Galicie. Ils ont laissé l’idéologie de Dmytro Dontsov devenir la référence historique. Par exemple, aujourd’hui, la population ukrainienne attribue la grande famine de 1932-1933, qui fit entre 2,5 et 5 millions de morts, à une volonté imaginaire de la Russie d’exterminer les Ukrainiens ; un mythe fondateur qui ne résiste pas à l’analyse historique [5], en effet, cette famine toucha bien d’autres régions d’Union soviétique. Au demeurant, c’est sur la base de ce mensonge que Kiev a réussi à faire croire à sa population que l’armée russe voulait envahir l’Ukraine. Aujourd’hui plusieurs dizaines de pays, dont la France [6] et l’Allemagne [7], ont adoptés, à d’écrasantes majorités, des lois ou des résolutions pour valider cette propagande.
La nazification est plus complexe qu’on le croit : avec l’implication de l’OTAN dans cette guerre par procuration, l’Ordre Centuria, c’est-à-dire la société secrète des nationalistes intégraux ukrainiens, a pénétré les forces de l’Alliance. Il serait, en France, déjà présent dans la Gendarmerie (qui, soit dit en passant, n’a jamais rendu public son rapport sur le massacre de Boutcha).
L’Occident contemporain perçoit, à tort, les nazis comme des criminels massacrant prioritairement des juifs. C’est absolument faux. Leurs principaux ennemis étaient les slaves. Durant la Seconde Guerre mondiale, les nazis assassinèrent quantité de gens, d’abord par balles puis, à partir de 1942, dans des camps. Les victimes civiles slaves de l’idéologie raciale nazie, furent plus nombreuses que les victimes juives (environ 6 millions si l’on ajoute les personnes tuées par balles et celles tuées dans les camps). Au demeurant, certaines victimes étant à la fois slaves et juives, elles sont comptabilisées dans chacun des deux bilans. Après les massacres de 1940 et 1941, environ 18 millions de personnes, de toutes provenances, furent internées dans les camps de concentration, dont 11 millions au total y furent assassinés (1 100 000 au seul camp d’Auschwitz-Birkenau) [8].
L’Union soviétique, qui s’est déchirée durant la révolution bolchévique, n’a refait son unité qu’en 1941 quand Joseph Staline a fait alliance avec l’Église orthodoxe et a mis fin aux massacres et aux internements politiques (les « goulags ») pour lutter contre l’invasion nazie. La victoire contre l’idéologie raciale a fondé la Russie actuelle. Le peuple russe se voit en pourfendeur du racisme.
3— Le rejet de la Russie hors de l’Europe
Le troisième sujet de discorde entre l’Occident et la Russie s’est créé, non pas avant, mais durant la guerre d’Ukraine. Les Occidentaux ont adopté diverses mesures contre ce qui symbolisait la Russie. On a, certes, pris des mesures coercitives unilatérales (qualifiées abusivement de « sanctions ») au niveau des gouvernements, mais on a aussi pris des mesures discriminatoires au niveau des citoyens. De nombreux restaurants ont été interdits aux Russes aux États-Unis ou des spectacles russes ont été annulés en Europe.
Symboliquement, nous avons accepté l’idée selon laquelle la Russie n’est pas européenne, mais asiatique (ce qu’elle est aussi partiellement). Nous avons repensé la dichotomie de la Guerre froide, opposant le monde libre (capitaliste et croyant) au spectre totalitaire (socialiste et athée), en une opposition entre les valeurs occidentales (individualistes) et celles de l’Asie (communautaires).
Derrière ce glissement, les idéologies raciales ressurgissent. J’avais noté, il y a trois ans, que le 1619 Project du New York Times et la rhétorique woke du président Joe Biden était en réalité, peut être à leur insu, une reformulation inversée du racisme [9]. J’observe qu’aujourd’hui le président Donald Trump partage la même analyse que moi et a révoqué systématiquement toutes les innovations woke de son prédécesseur. Mais le mal est fait : le mois dernier, les Occidentaux ont réagi à l’apparition du chinois DeepSeek en niant que des Asiatiques aient pu inventer et non copier un tel logiciel. Certaines agences gouvernementales l’ont même interdit à leurs employés dans ce qui n’est autre d’une dénonciation du « péril jaune ».
Faut-il censurer Léon Tolstoï (1828-1910), l’auteur de « Guerre et Paix », comme le fait l’Ukraine où l’on brûle ses livres parce qu’il était russe ?
4- Conclusion
Les négociations actuelles se focalisent sur ce qui est directement palpable par les opinions publiques : les frontières. Or, le plus important est ailleurs. Pour vivre ensemble, nous avons besoin de ne pas menacer la sécurité des autres et de les reconnaître comme nos égaux. C’est beaucoup plus difficile et n’engage pas que nos gouvernements.
D’un point de vue russe, l’origine intellectuelle des trois problèmes examinés ci-dessus réside dans le refus anglo-saxon du Droit international [10]. En effet, durant la Seconde Guerre mondiale, le président états-unien Franklin D. Roosevelt, et le Premier ministre britannique, Winston Churchill, convinrent lors du sommet de l’Atlantique qu’après leur victoire commune, ils imposeraient leur loi au reste du monde. Ce n’est que sous la pression de l’URSS et de la France qu’ils acceptèrent les statuts de l’ONU, mais ils ne cessèrent de les bafouer, contraignant la Russie à boycotter l’organisation lorsqu’ils refusèrent à la Chine populaire le droit d’y siéger. L’exemple criant de la duplicité occidentale est donné par l’État d’Israël qui foule au pieds une centaine de résolutions du Conseil de sécurité, de l’Assemblée générale et d’avis de la Cour internationale de justice. C’est pourquoi, le 17 décembre 2021, alors que la guerre en Ukraine se faisait proche, Moscou a proposé à Washington [11] de la prévenir en signant un Traité bilatéral apportant des garanties à la paix [12].
L’idée de ce texte était, ni plus, ni moins, que les États-Unis renoncent au « monde fondé sur des règles » et se rangent derrière le Droit international. Ce droit, imaginé par les Russes et les Français juste avant la Première Guerre mondiale, consiste uniquement à respecter sa parole sous les yeux des opinions publiques.
Para muchas mentes, la solución a nuestros problemas económicos centrales es volver a un dinero sólido a través del patrón oro, en el que el oro respalda todas las monedas, o sustituyendo el oro por bitcoin, es decir, el bitcoin se convierte en la moneda del reino .
A menudo he sostenido que si no cambiamos la forma en que se crea y distribuye el dinero, no habremos cambiado nada.
Pero el dinero es complicado, y esto introduce el koan del título de este post: El problema con el dinero no es el dinero . La mente humana prefiere la simplicidad a la complejidad, y por eso tendemos a buscar soluciones simples a problemas complejos. A veces las soluciones simples funcionan con una eficacia casi mágica, pero otras veces generan nuevos problemas que no previmos, problemas que complican nuestra solución simple.
Como explicó David Graeber en su libro Deuda: Los primeros 5.000 años , el problema con el dinero no es lo que se declara moneda del reino , sino todas las formas de dinero que no son monedas ni efectivo, es decir, el crédito, también conocido como deuda, que como documenta Graeber, ha sido "dinero" desde que comenzó el comercio.
Si vamos al grano, el problema del dinero se reduce a:
1. No hay suficiente dinero en el reino para financiar todas las actividades que todos quieren llevar a cabo.
2. La mayor parte de la moneda del reino pertenece a los ricos, fuera del alcance de los plebeyos que intentan mejorar su nivel de vida.
3. Independientemente de lo que se declare moneda corriente , el Wetware 1.0 humano generará burbujas especulativas y pánicos desastrosamente destructivos.
Si se declaran las conchas de almejas como dinero, las conchas de almejas serán "invertidas" (es decir, apostadas) en especulaciones que amasan fortunas para unos pocos y arruinan al resto. Las extraordinarias manías especulativas y la ruina resultante de las burbujas de los Mares del Sur y de los tulipanes ocurrieron en economías de dinero sólido . El dinero sólido no inhibió el surgimiento de burbujas y las crisis resultantes, ni tampoco limitó las depresiones y los pánicos que caracterizaron el siglo XIX. El problema en Estados Unidos en 1800 era sencillo: no había suficiente oro y plata en circulación para impulsar el inmenso esfuerzo por aumentar la producción y el comercio. Si el dinero sólido es limitado y gran parte del que existe está en manos de los ricos, entonces la economía del 95% más pobre no puede expandirse. He aquí la realidad económica que el dinero sólido no puede resolver: los ricos heredan dinero sólido , o poseen monopolios o empresas que generan dinero sólido.
, pero los plebeyos sólo tienen su trabajo para vender, y el valor de ese trabajo lo fijan las fuerzas del mercado, de modo que pocos pueden ganar lo suficiente para acumular ahorros suficientes para iniciar una empresa o comprar un activo en efectivo.
Los ricos aman el dinero sano , los pobres aman el dinero en circulación y el crédito porque son los únicos medios que tienen para aumentar la producción y el comercio. Ésta es la lección de la historia: se emitió papel moneda en China porque no había suficiente oro y plata en circulación para estimular el comercio y la producción cotidianos.
En otros reinos, se emitían monedas de cobre para las transacciones cotidianas, ya que no había suficiente oro y plata en circulación para que la gente promedio pudiera tenerlos en sus manos.
La escasez de oro y plata no era sólo un problema para los plebeyos que buscaban aumentar la producción y el comercio; También era un problema para los gobiernos, ya que los plebeyos no podían pagar sus impuestos en oro o plata porque no tenían. Los impuestos debían pagarse en especie , es decir, con grano o con alguna otra forma de "dinero" que no fuera oro o plata.
En la Edad Media, la escasez de oro y plata condujo a la creación de un vasto sistema de crédito comercial en el que el papel era "dinero". En la terminología actual, los comerciantes emitían órdenes de compra y organizaban el comercio mediante pagarés en poder de intermediarios confiables que podían comercializarse como "dinero" antes de la liquidación.
Así, si acordábamos intercambiar una carretada de madera por ropa de lana, el intercambio real de esos bienes se produciría en una de las grandes ferias comerciales. Mientras tanto, podría intercambiar (vender) el pagaré prometedor de la madera a otro comerciante y utilizar las ganancias para realizar otras actividades comerciales. En el comercio justo, las mercancías se intercambiaban y el "dinero" creado por los billetes desaparecía.
En otras palabras, la gran mayoría del comercio se hacía posible gracias al crédito, no al dinero sólido . Si el comercio se hubiera restringido únicamente al dinero sólido , entonces habría habido muy poco comercio y, por lo tanto, pocas oportunidades para que la gente común saliera adelante.
El crédito también es “dinero”. Esta es la realidad que los defensores del dinero sano pasan por alto. La mayor parte del "dinero" en cualquier sistema es crédito o moneda fiduciaria: las dinastías chinas emitieron papel moneda "fiduciario" por necesidad, así como los regímenes antiguos emitieron monedas de cobre de bajo valor para servir al mismo propósito, y los comerciantes a lo largo de la historia han utilizado el crédito comercial como "dinero".
Uno podría imaginarse que el Imperio español, financiado por su flota de tesoros de plata del Nuevo Mundo, no tenía necesidad de crédito. Pero uno estaría equivocado. La inundación de plata amplió la oferta de "dinero", y el resultado fue predecible: el valor del "dinero" de plata cayó en consecuencia.
El Imperio libró tantas guerras simultáneamente que tuvo que pedir grandes préstamos a los banqueros holandeses. Sus enormes ingresos de dinero sano no le impidieron endeudarse demasiado.
A principios del siglo XIX, los estadounidenses estaban desesperados por obtener crédito para expandir la producción y el comercio , por lo que los bancos surgieron y quebraron con una regularidad alarmante. Recordemos cómo funciona el crédito bancario. El banco acepta depósitos en efectivo y presta un porcentaje del efectivo con intereses como medio necesario para generar ingresos para cubrir los costos de funcionamiento del banco: alquiler, empleados, etc., y generar una rentabilidad para los propietarios.
En el curso normal del comercio diario, mantener el 25% del efectivo para los clientes que retiran el efectivo depositado es más que suficiente. Pero entonces surge el pánico financiero y todos los clientes corren al banco para retirar la totalidad de sus ahorros. El banco no tiene suficiente efectivo, por lo que recurre a todos sus préstamos. Los prestatarios no tienen dinero en efectivo para devolver el préstamo, por lo que están en quiebra. El banco no tiene suficiente efectivo para cubrir todas las demandas de retiro, por lo que quiebra y los depositantes que no estaban primeros en la fila pierden su dinero.
Ya ves, el problema con el dinero no es el dinero en sí, sino el crédito, el hambre de la humanidad por especular y mejorar el nivel de vida y la necesidad de emitir crédito y otras formas de "dinero" para aceitar el comercio y aumentar la producción.
Cómo satisfacer las necesidades de crédito y de "dinero" en circulación y limitar los efectos negativos de las burbujas especulativas y los pánicos son los problemas que los bancos centrales fueron creados para resolver. El dinero sólido -la moneda del reino a lo largo de la historia- genera su propio conjunto de problemas y no elimina las burbujas especulativas y los colapsos ni la destrucción causada por los pánicos.
El problema con el dinero es que es complicado. Está vinculado no sólo con el valor de la escasez y la oferta y la demanda, sino con la psicología humana y con todo, desde la necesidad de recaudar impuestos hasta la distribución de Pareto, que dicta que el 80% de toda la riqueza (propiedad y todo el dinero sólido) terminará en manos del 20% más rico, dejando al 80% más pobre con pocas oportunidades de mejorar su suerte.
Los ricos poseen el dinero sólido y los pobres que quieren progresar necesitan crédito para financiar sus intentos de mejorar su suerte.
Cuando las burbujas especulativas estallan, la ruina resultante no se puede evitar. Los problemas del dinero no se pueden reducir a una solución simple
Pequim possui 23 acordos espaciais bilaterais com nações africanas, incluindo financiamentos para construção de satélites e instalações terrestres de recolha da imagens e dados. No ano passado o Egípto, a África do Sul e o Senegal decidiram colaborar com a China com vista uma futura base lunar.
«Nos arredores do Cairo, um laboratório espacial de última geração destina-se a ser o primeiro em África a produzir satélites localmente construídos.
O primeiro satélite desta fábrica, descrito como o primeiro jamais construído por uma nação africana, foi aí montado e lançado a partir dum aeroporto espacial em Dezembro de 2023.
O laboratório de satélites egípcio é somente parte do programa espacial desenvolvido pela China no estrangeiro. Pequim está a construir alianças espaciais em África, para melhorar a sua rede global de satélites e converter-se assim em potência espacial de primeira grandeza.
A China anunciou publicamente uma grande parte desta assistência espacial aos países africanos, a qual inclui satélites, telescópios de vigilância espacial e estações terrestres. Pequim terá acesso aos dados e imagens recolhidos por estes satélites. Haverá continuidade de assistência, por técnicos e cientistas chineses, para lá da entrada em funcionamente das instalações nos arredores do Cairo.
A fábrica de satélites, que començou a operar em 2023, faz parte dum complexo de tecnologia espacial oferecido pela China ao Egipto nos últimos dois anos. Entre as transferências tecnológicas anunciadas publicamente, menciona-se o novo centro de monitização do espaço. Este possui dois telescópios muito poderosos e controla dois satélites de observação terrestre, lançados em 2023. Um destes foi montado no Egípto e o outro fabricado exclusivamente na China. Nesse ano de 2023, terá sido lançado um terceiro satélite de fabrico chinês, capaz de realizar vigilância de nível militar.
As instalações da Space City são a peça central do complexo construído cerca de 30 km a leste do Cairo, próximo da nova capital administrativa, em construção.
O presidente egípcio Abdel Fattah El-Sisi tem desenvolvido laços com a China nos últimos anos, incluindo acordos sobre infraestruturas e sobre energia no âmbito da Iniciativa Belt and Road.»